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Encre d'époque.
22 décembre 2023

Immigration

 

Source: Externe

 

"Là où il est tout à fait question de décider du salut de la patrie,
il ne doit y avoir aucune considération de ce qui est juste ou injuste, compatissant ou cruel, louable ou ignominieux"
Machiavel

 
Je n'ai pas pour habitude d'écrire sur des articles de journaux, j'écris plutôt sur les livres que je lis. Bien que parfois, je ne peux m'empêcher d'y exposer ma pensée ; qui n'est pas franchement de gauche comme vous avez pu vous en apercevoir. Néanmoins, j'ai décidé de vous parler de cet article, car ce sujet - quoi qu'en dise l'infâme bien-pensance - est un sujet qui m'intéresse beaucoup car c'est l'avenir de notre pays qui se joue aujourd'hui.

Cet article de Malika Sorel-Sutter, écrit à l'aulne de la loi immigration, rappelle ce que l'on est déjà beaucoup à remarquer et à vivre au quotidien. A savoir que trop d'immigration, tue l'immigration. Qui plus est quand cette dernière est originaire de pays où l'on apprend à bien détester la France dès la naissance (bon, vous me direz que la France se débrouille bien avec ça également), et où l'on pratique une religion arrogante et suprématiste, qui régente absolument tout dans la vie des gens. En clair, quand l'immigration s'éloigne trop de la civilisation du pays qui l'accueil (accueil souvent forcé), plus rien ne va. Et ce n'est pas les faits dits « divers » qui manquent pour illustrer le propos.
En bref, inutile d'être grand clerc pour se rendre compte que l'immigration (une certaine immigration) n'est une chance pour personne, et qu'elle représente comme le dit cet article un danger pour la civilisation française (et même au-delà).

En quoi exactement cette immigration représentent un danger ? Premièrement de part par la masse de sa démographie. Sur ce point, Malika Sorel rappelle ce que disait l'INSEE en 2017 : « 44% de la hausse de la population provient des immigrés », et toujours selon l’INSEE, « près de 40 % des enfants de 0 à 4 ans ont un lien avec l'immigration sur 3 générations, une immigration majoritairement issue du continent africain, Maghreb inclus ».
Si les conclusions qui s'imposent à la lecture de ces chiffres font rire les plus idiots d'entre nous. Si beaucoup refusent de comprendre et de voir une logique mathématique par clientélisme ou prétention. Il n'en demeure pas moins que les chiffres et même les faits sont là. D'ailleurs, qui ne s'est jamais amusé à comparer une photo, une vidéo, entre hier et aujourd'hui ?

Ensuite, cette démographie dangereuse et galopante, pose également le problème de l'intégration et de l'assimilation. Malika Sorel le rappel, qu'« un groupe qui tire sa force de sa taille n'a aucun intérêt à laisser ses membres présumés s'intégrer », on le voit, l'immigration massive fait résistance à la nation, à la civilisation française. Cet argument déjà repris par d'autres, rappelle qu'un groupe qui peut reproduire ici sa société originelle n'a aucun intérêt à changer son mode de vie. Et qu'au contrairement elle a même tout intérêt à ne rien changer pour continuer à vivre comme au pays, tout en profitant à côté de cela de ce qui fait la solidarité nationale par exemple. Mais à quel prix pour les autochtones ? Au prix d'une précarisation de la société, d'une censure, de menace, d'émeute, de racisme, d'une remise en question des institutions et de leurs programmes. Le prix à payer est donc lourd... Et même plus qu'on l'imagine comme l'évoque l'article paru dans le Figaro Vox. En effet, et comme Madame Sorel le montrait déjà dans ses livres précédents, le modèle républicain ne peut tenir face à une pression migratoire insoutenable. Et le premier exemple qui illustre ce propos est l’école, dont l'enseignement heurterait soi-disant les convictions culturelle ou cultuelle de « ces enfants venus d'ailleurs ». Mettant, in fine, en péril le lien qui fait nation, mais également à la longue sa place dans la mondialisation dont un des marqueurs est l'économie. Et s'il n'y a pas d'économie il n'y a pas de modèle social possible, ni d'institution, ni d'ordre. C'est le serpent qui se mord la queue.
« La chute libre de la France dans le classement Pisa prépare des jours sombres pour l'économie française et pour la cohésion sociale et nationale ». Et puisque je parle de l'école, notons en passant ceci que j'ai relevé dans l'article : «
Dans son rapport sur l’école maternelle remis en 2007 au ministre de l’Éducation nationale, Alain Bentolila évoque l’existence de problèmes de compatibilité culturelle entre l’école et la maison pour ces « enfants venus d’ailleurs ». En 2009, deux chercheurs pointent que dans les familles du Maghreb, de Turquie et d’Afrique, « 72% des parents estiment important que leurs enfants pensent comme eux », et que « La prescription d’obéissance imposée aux enfants se double d’une demande d’allégeance spirituelle et intellectuelle ». En 2000, trois chercheurs soulignent que dans le cas où « la figure du maître s’avère, aux yeux de l’enfant, trop différente de celle parentale, il doit, consciemment ou inconsciemment, décider quel savoir adopter ».
Et que l'on ne vienne pas me dire que c'est une minorité qui pose problème. En effet, quand 74% des musulmans de moins de 25 ans (qui sont le reflet de leurs parents ou du groupe) déclarent « faire passer leurs convictions religieuses avant les valeurs de la République », on ne peut pas dire que c'est une minorité. C'est même, au contraire, une écrasante majorité musulmane qui s'impose à une minorité que la France a abandonnée. Vous me direz, on a déjà abandonné depuis longtemps les femmes musulmanes dans le monde et ici, on n'est plus à un abandon près...

Aujourd'hui ?

Aujourd'hui, on va dire la phrase : nous sommes dans la merde. Depuis plus de 20 ans les dirigeants et « intellectuels » persistent et signent à exposer des raisonnements faux, qui s'éloignent de la réalité et ne répondent donc pas aux véritables enjeux de la société. D'un point de vue bien personnel, il me paraît effectivement évident que c’est la haine de la France et du blanc qui poussent aux agressions ou aux émeutes. Rien à voir donc avec des quelconques raisons économiques, qui sont souvent en passant des insultes à la face du pauvre et du rural, qui ne se conduisent pas tous comme des sagouins, loin de là ! Bref.
Pour en revenir à nos moutons, Malika Sorel dans cette tribune pointe en plus du doigt les incohérences politiques qui accompagnent la question de l'immigration, alors que l’État explose et n'est plus respecté par ces mêmes personnes. Cette manie de jouer les Louis XV en disant "après-moi le déluge", de ne pas avoir la capacité de prévoir les conséquences d'un geste politique ou d'une idée, cette manie de déléguer à des représentants qui ne sont pas dénués de convictions politiques et exemptes de pressions extérieures (ça vous rappelle le voile et Jospin, c'est normal), sont autant d'approches qui mettent sérieusement en péril le contrat social. Le Liban c’est aujourd'hui la France dit Malika Sorel, je pense que ce qui nous attend demain sera pire. Un peuple majoritaire, rigole souvent à la tronche du minoritaire quand bien même il était-là avant. Et ce n'est pas une loi qui ne prend ni en compte l'immigration légale, le problème des « mineurs », ni le problème de l'Union Européenne, qui réglera grand chose. En sachant qu'elle aura (si jamais elle passe) un effet pervers, en encouragent l'illégalité adoubée par une naturalisation via le travail. Au nom de l'économie, oublions la paix civile !
« Et c’est dans ce contexte que le gouvernement s’entête à vouloir imposer un énième projet de loi immigration qui entend récompenser ceux qui auront réussi à se maintenir et à travailler sur le sol français, en toute illégalité, créant ainsi un gigantesque appel d’air. »

Pour finir sur cet article, bien évidemment cela est la faute du politique, du traîte.
« Or le code civil, qui imposait que l’octroi de la nationalité française, donc le droit de vote, soit subordonné à la réussite de l’assimilation, a été violé par ceux-là mêmes qui avaient la charge de veiller sur l’unité nationale. »
Ce politique qui ne respecte pas la démocratie ni la volonté du peuple. Qui vendrait père et mère pour sa place au soleil, son nom dans l'histoire (même si là on se rapproche plus des rois fainéants que de Louis XIV). Ce politique qui a oublié que son premier devoir c'est de servir la nation, faire en sorte que le peuple vive en sécurité et bien. Que son devoir c’est de respecter la loi, et que ce n'est pas une insulte d'être droit, de réclamer un minimum. Bref, ce politique est un traître à ce qui fait la Francce et à son peuple.
Néanmoins, j'irai plus loin que Malika Sorel. En effet, la seule limite que je trouve à l'article, c'est qu'il n'appuie pas assez sur les ONG ou le monde associatif, collectif, intellectuel, universitaire... qui à leur manière participent à la vie politique par leurs injonctions ou leurs condamnations. La politique se fait sur la réputation, et la réputation ces groupes-là la manipulent. Pour celui qui n'en a rien à faire parfait, mais beaucoup de politiciens ne tombent pas dans cette case. Au final, la parole et les actes de ces gens, ne sont-ils pas à mesure égale des dangers pour la République et la démocratie. Ne privent-ils pas, par leurs vociférations et leur violence le peuple de la démocratie ? De sa souveraineté ? 80% des français ne veulent plus d'immigration pour rappel, et pourtant ces infâmes - au chant étrange d'un vieux slogan des années 80 -, empêchent tout changement et tentent d'empêcher tout échange, au prétexte curieux qu'il y aurait plus urgent à faire ou que ces questions rappellent les heures les plus sombres de l'histoire. Pourtant je tiens à dire à ces andouilles, que la France n'a pas vocation à se prendre pour Jésus, à prendre sur elle toute la misère du monde. Ce n'est pas sa vocation, et ni la volonté du peuple. Que reste-t-il à la démocratie si on enlève la voix du peuple ?

Enfin je vais profiter de cet article pour dire ce que je pense du remous que crée la loi immigration. D'un avis bien personnel, je trouve cette levée de bouclier face à une loi pas franchement révolutionnaire, ignoble. Quand je vois cette gauche racaille qui crie haut et fort qu'elle n’appliquera pas la loi, notamment sur les aides où nous sommes pourtant en droit d'attendre un minimum avant de gaspiller l'argent public ; quand je vois Macron qui fait voter une loi, mais ne veut pas la faire voter par des représentants élus du peuple ; quand je vois Macron qui vote une loi mais tente de la faire annuler en saisissant le Conseil constitutionnel ; quand je vois toute cette gauche qui persiste à clamer des discours horribles pour flatter un électorat qui n’hésitera pas à les éliminer le moment venu ; quand je vois tout ça et même plus encore, je dois avouer que je me sens volée, dépouillée, déchue de mon droit d'être française et de vivre en démocratie. De vivre en France dans sa culture multiséculaire. De vivre tout simplement dans un pays qui n'est pas une jungle. Quand je vois tout ce cirque, je sens que l'on me prive de ma culture, de mon identité. Que l'on cherche à me voler mon avenir et mon passé qui est celui de la France. Quand bien même mon nom trahit une origine européenne. Bref, je me sens piétinée par cette smala nauséabonde qui n'hésite pas à fouler du pied ce qui avait avant, pour faire pire après. Tout ça au nom du multiculturalisme. Tout ça au nom du collaborationnisme islamiste. Pendant que des peuples se ferment et se radicalisent, allez savoir pourquoi nous avons l’obligation pour ces idiots utiles de nous ouvrir. Allez savoir pourquoi, nous avons l’obligation de tout accepter de ces peuples qui nous détestent, alors qu'ils n'en font pas le quart dans leur pays et que personne ne dénonce cela ici. Le principe de réciprocité ne parle pas à ces gens visiblement. A votre avis est-ce normal ? Bien sûr tous les immigrés ne se valent pas, y compris chez les musulmans, j'en connais qui sont très bien. Mais il y a des silences éloquents ; des « mais » trop parlants ; des actes absents bien présents... Que voulez-vous que je pense après ça ?

 

Je remercie madame Sorel-Sutter d em'avoir fait parvenir sona rticle, que je vous laisse découvrir sur le site internet du Figaro.

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